Arrivée du Chancelier de Toulouse

par Louis.Bonnis Ven 17 Fév 2017 - 20:42

Louis se présente dans son ancienne terre; la Bretagne. Il demande à être reçu en tant que Chancelier de Toulouse.

Bonjour, je vous prierai d'informer votre service diplomatique que le Chancelier de Toulouse est là. Je vous remercie d'avance.

Et à Louis de tendre sa patente avec un sourire poli.

Spoiler:

par **Anne-Solenn Wolback** Dim 19 Fév 2017 - 16:12

Le chambellan avait demandé que soit accueilli le nouveau chancelier de Toulouse et qu'il soit conduit dans l'un des salons réservés aux diplomates étrangers.

Plusieurs heures plus tard, passant devant le salon d'accueil, où attendaient les diplomates étrangers demandant audience, elle constata que le salon était occupé. Un garde la renseigna, le chancelier de Toulouse attendait patiemment d'être reçu.

Maîtrisant un geste de mauvaise humeur et se composant un visage serein et souriant, malgré la contrariété, tout en pestant intérieurement contre les gens qui ne tiennent pas compte des ordres, elle entra dans le salon et alla au devant de son homologue toulousain.

Demat, Excellence, j'espère que vous avez fait bon voyage. Je vous souhaite la bienvenue en Bretagne et plus particulièrement à Nantes.

par Louis.Bonnis Dim 19 Fév 2017 - 16:50

Le brun attendait en effet patiemment dans le salon qu'on lui avait assigné. La visite d'un diplomate breton se faisant plus incertaine minute après minute, il se demanda s'il ne valait pas mieux quitter les lieux. Mais bon, professionalisme oblige, Louis demeura assis.

Lorsqu'Anne Solenn pénetra dans la salle, son visage s'illumina, enfin on venait le chercher. De plus, il la connaissait de vue, l'ayant croisée autrefois à Rennes, le jeune homme répondit donc à ses propos.

Bonjorn, Excellence. Je vous remercie de m'accueillir en ces lieux, que j'ai pu observer longuement.

par **Anne-Solenn Wolback** Ven 3 Mar 2017 - 17:38

La duchesse observa attentivement le visage du chancelier lorsqu'il la salua. Celui-ci était impassible, sans aucune manifestation d'ironie, mais le Chambellan était assez subtile pour comprendre l'allusion à la longue attente du diplomate toulousain dans le salon d'entrée du château de Nantes. Elle décida d'ignorer la légère ironie du propos et sourit.

Nous sommes heureux d'accueillir un envoyé du lointain comté de Toulouse. Il doit faire plus chaud et moins humide là d'où vous venez Excellence. J'espère que le climat de notre belle Bretagne ne vous sera pas contraire.

D'un geste de la main, elle l'invita à la suivre.

Si vous voulez bien m'accompagner, je vais vous conduire dans les locaux réservés aux diplomates du Comté de Toulouse.

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